Réunion Publique

Publié le par Caupl

REUNION PUBLIQUE
MARDI 19 DECEMBRE 20h30
LIBOURNE BOURSE DU TRAVAIL


Ordre du jour : position du collectif sur la candidature à la présidentielle

Modalités d’expression des choix de consensus par les collectifs, organisations et sensibilités politiques ; répondre aux questions suivantes :

Après la première expression des collectifs, organisations et sensibilités politiques, et les débats des 9-10 décembre :
A partir de quel choix peut-on construire le consensus :
  • la candidature de Marie-George BUFFET arrivée en tête de la consultation des collectifs ?

  • les deux candidatures déjà citées comme 2ème ou 3ème préférence : Clémentine AUTAIN et Yves SALESSE ?

  • les propositions nouvelles évoquées lors de la réunion nationale dans le rapport de synthèse : Jean-Luc MELENCHON, Claude DEBONS, un militant communiste identifié avant tout par sa place dans le mouvement social ?

  • une autre proposition ?



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Publié dans Agenda

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R
<br /> A propos du consensus, et histoire de débloquer la situation,<br /> <br /> Le week-end dernier, à Saint Ouen, un double consensus n’a pu être trouvé, ce qui met un frein à notre démarche alternative.<br /> Lors des différentes réunions des divers collectifs, il semble que la définition exacte de ce terme n’ait pas été posée (ou rarement été posée) et que les démarches effectuées alors se trouvent invalidées par défaut de compréhension. <br /> Revenons-en à des principes étymologiques et sémantiques simples afin de lever toute ambiguïté et de ne pas obérer la suite des événements.<br /> <br /> " Consensus " est un mot latin qui signifie " accord ", " choix collectif ", " consentement ". Ce mot a été lexicalisé en français au XIX° siècle, dans le sens de " large accord ".<br /> est un mot latin qui signifie Ce mot a été lexicalisé en français au XIX° siècle, dans le sens de<br /> De nos jours, on confond souvent " consensus " et " choix collectif ". Or, on doit comprendre, " consensus " comme un " accord général " (parmi les membres d’un groupe) pouvant permettre de prendre une décision sans vote préalable.<br /> Le terme " consensus " implique des notions de compromis : plutôt qu’une opinion adoptée par une majorité, le " consensus " suggère l’apport de multiples opinions différentes, et leur adaptation progressive jusqu’à ce qu’une solution commune puisse être dégagée.<br /> Le " consensus " ne signifie pas que tout le monde est satisfait du résultat, mais suggère plutôt que tout le monde peut juger le résultat acceptable et qu’alors, la majorité est satisfaite.<br /> Le soin particulier à apporter à la définition d’un " consensus " réside plus précisément dans la définition de la majorité représentative de l’ensemble, " faute de quoi ce compromis peut s’éloigner de la réalité pour peu que le consensus se construise au vu de la subjectivité de l’estimation de la " représentativité " de chaque personne ". Ce type de consensus, limant les divergences au profit des similitudes, manifeste la justesse de l’opinion répandue.<br /> On peut considérer que le " consensus " se construit avec la loi de juste milieu (pris dans le sens d’un milieu acceptable pour les différentes parties).<br /> La recherche d’un " consensus " permet d’éviter que la majorité impose ses décisions ou sa loi à la minorité, puisque le veto de chacun permet de refuser une solution qui ne lui convient pas.<br /> Le compromis, le " consensus " constituent une méthode démocratique de prise de décision, habituellement par la négociation : deux parties (ou plus) annoncent leur position respective et la changent petit à petit, par des concessions mesurées. Même s’il arrive que la négociation ne satisfasse aucune des parties, le " consensus " est un moyen de décision faisant appel à la créativité de chacun, mais c’est un processus tel qu’aucune décision ne peut être prise tant que tous les participants ne l’acceptent pas. C’est un une méthode de prise de décision dans laquelle les minorités sont entendues tout au long du processus, et pas seulement à la fin : la décision est élaborée collectivement.<br /> <br /> Le droit de veto, détenu par chacun sur une proposition du reste du groupe, est la pierre angulaire de la méthode du consensus. <br /> <br /> Dans le cas qui nous préoccupe, la décision initiale du choix de méthode, convenue entre toutes les parties concernées, est le principe de " double consensus ", (entre les collectifs et les organisations). Chacun était donc au courant (du moins, en " haut lieu ") de la signification à donner à ce double consensus. Visiblement, la méthode du vote adoptée dans certains collectifs n’était pas conforme aux données de départ (cf. définitions précédentes) et, si nous avons échoué à réaliser ce double consensus, c’est parce que la réflexion n’était pas forcément dirigée dans le bon sens… par erreur d’interprétation.<br /> Forts de ces apports sémantiques, nous devrions réussir à dépasser nos problèmes et nos divisions. L’enjeu est trop immense pour échouer sur des questions de contresens. <br /> Anny Richard
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B
Pour ma part, si j\\\'entends le nombreux arguments en défaveurs de MGB (secrétaire nationale du PCF, sentiment de se ranger derrière le PCF, frein pour la LCR) , je ne les partage pas. Pour le dernier, la LCR majoritaire ne souhaite pas rejoindre les collectifs car elle ne pense pas que les élections soient un outil efficace pour le changement de société et elle remet en cause la stratégie décidée ensemble le 10 septembre : pas de participation dans un gouvernement ou une majorité dominée par le social-libéralisme. Elle souhaite que nous rompions tous les ponts avec le PS, en refusant par exemple un majorité antilibérale soutenue par un PS minoritaire....et donc la possibilité de travailler à un changement de politique dans notre pays en 2007 (à moins de penser que notre rassemblement pourrait obtenir la majorité absolue ...)Pour les arguments contre MGB, si j\\\'ai souvent entendu dans nos réunions ou autour de moi  le frein constitué par la fonction de MGB, j\\\'ai aussi très souvent entendu qu\\\'il fallait quelqu\\\'un de connu, que MGB possédait une très bonne image. D\\\'ailleurs, les votes sur notre collectif indiquent clairement que MGB peut faire consensus en dehors de la sphère communiste (37% des non communistes l\\\'ont placé 1er choix, et 29% en 2eme choix).Le débat me semble-t-il est de savoir si les milieux militants non communistes peuvent entendre que leurs appréhensions ne sont peut-être pas les mêmes que ceux de la population qui va voter en avril 2007. Quand à la proposition d\\\'un autre membre du PCF issu du mouvement social elle me blesse comme militant communiste car laisse sous-entendre que ce qui nous parait important c\\\'est l\\\'appartenance politique.... SI je fais le choix de MGB, c\\\'est parce qu\\\'elle présente une stature nationale, reconnue par le plus grand nombre, et parce qu\\\'elle est femme. Je suis persuadé que nous arriverons à nous entendre à condition de laisser de côté les partisanismes (il n\\\'y a pas besoin d\\\'être encarté pour être partisan, nous avons tous une image déformée de la réalité liée à notre histoire). Quelle que soit le nom qui sortira du chapeau, je participerai activement à la campagne et trouve dommage les appels de certains militants, voir collectifs dans leur ensemble qui font pression en indiquant qu\\\'ils quitteront le rassemblement.bruno FONTAN secrétaire de section
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B
Il suffit de faire Ctrl V
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I
Bonsoir  Libourne!Je n'arrive pas à coller dans cette fen^tre ce que je  souhaitais. (application java scipt)?IS
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